23 février 2011
DEDICACE
L'AVEU
Et ce soleil ardent phénix infatigable
Et cette nuit ! Éteignoir des lunes espérantes
Je me noie hors de l'eau sous l'éther, misérable
Condamné tel Sisyphe à descendre la pente
Doux chant inespéré où étais-tu tapi
Laisse-moi je t'en prie je n'apprend plus par coeur
Je te sais et pourtant tu changes en mélodie
Tes mots sont indicibles ! Que veux-tu ? Que je meurs!
Mourir la belle affaire, je fais ce que je peux
Albatros n'ouvre pas tes deux ailes à la chute
Ton corps est lourd encore; attention à l'aveu!
Je l'avoue donc sans la question barbare et sans brute
AIMER!
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